mardi 27 mai 2008

Un ami vient de me faire parvenir cette vidéo.
Pour ceux ou celles qui ne comprennent pas, qui ne connaissent pas la batterie.
Mettez le volume au max !

dimanche 25 mai 2008

Paris by Night

A peine de revenus de Sicile, nous voilà déjà dans le Paris By Night si romantique.

Une petite vision de La Grande Dame scintillante.

Désolé pour la médiocre qualité, le prochain téléphone sera plus efficace.

 

Bonne nuit

 

samedi 24 mai 2008

Quelques videos







Nous revoilà. On poste 2 petites vidéos, d'autres viendrons. La qualité n'est pas toujours terrible mais avec un téléphone portable on peut pas non plus faire du Spielberg.

Sur la première on peut voir un avion atterrir dans la piscine de l'hôtel et sur la seconde nous sommes sur l'Etna, à 1900 mètre (pour plus de détail lire le post relatif à cette excursion). Y un vent de dingue ce qui explique qu'on entend pas grand chose très beaucoup.

Bon week-end à tout le monde

vendredi 23 mai 2008

The return Come back

Journée 7 Clément suite et fin :
Voilà on y est. Demain nous partons pour Paris et son RER, ses bus, ses grèves…sa température proche de l’ère glacière et tout ça pour reprendre le travail. Arg !
Enfin, si on veut revenir, il faut bien partir. Logique optimiste du vacancier sur le départ. Quoiqu’il en soit, nous avons fait de sympathiques rencontres parmi les gens de l’hôtel. Des gens que nous ne reverrons certainement jamais mais la vie est ainsi faite. Nous avons partagé de très bons moments en compagnie de gens de tout âge, de toute provenance. Etrangement, les liens se sont tissés avec des « plus vieux que nous », le peu de « jeunes » sont restés à l’écart. Allez savoir pour quoi. Entre nous je m’en fous un peu. La semaine fut trop courte pour faire tout se dont nous rêvions en arrivant. Par exemple, nous n’avons quasiment pas parlé aux locaux, ou alors les animateurs du club. L’île regorge de trésors que nous découvrirons à notre prochaine venue. La semaine s’est écoulée au rythme des vagues de la méditerranée…tout doucement. Pour différentes raisons, nous n’avons pas fait les fous du volant en parcourant de long en large et d’Est en Ouest ce joli caillou qu’est la Sicile. Parce que d’une part les déplacements sont assez longs, chers et peu sûr (au niveau des horaires). D’autre part, on voulait se reposer…c’est un concept assez ancien qui revient à la mode et qui consiste à se laisser bercer, à faire la sieste quand on en a envie, à lire un livre sur la plage sans se poser de questions comme « qu’est ce qui me reste à faire ? » ou alors prendre un verre en regardant le temps filer, non justement sans regarder le temps, juste se faire rappeler l’heure du repas par votre estomac qui fait « brrr ». Essayer un jour, on a un peu de mal au début, on trépigne, on s’agite et après une journée ou deux…ça devient naturel, le bruit des vagues vous berce, et le seul déplacement consiste à aller au bar demander une bière (ce qui relève déjà d’un effort…oulala). Sur la plage nous avons constaté une chose assez peu commune de part nos contrées : les gens ici sont beaux. Le sicilien est grand fort et musclé juste comme il faut. La sicilienne est grande, brune et très bien faite. Passé un certain âge…ça se gâte un peu. Par contre même ici la mode du jean slim, lunette carglass et T-shirt fluo arrive à sévir…les ravage de la mondialisation surement. Mais demain c’est le retour, la fin. On subit le paradoxe suivant ; je resterai bien mais au bout d’un moment je m’ennuierai. Ca doit être le résultât de bourrage de crâne qui consiste à croire que le travail c’est la santé et qu’il faut travailler plus pour gagner plus et devenir un bon vrai gros con. Et voilà ça recommence…pardon mais décidément je déteste le président français actuel (faut pas dire son nom ça porte malheur).
Quoiqu’il en soit venez en Sicile ! Tout y est splendide et ce n’est qu’à 2 heures de Paris. Le paysage, la nourriture, le rythme, l’histoire, la géographie tout ici est passionnant. C’est propre à l’Italie mais là en plus vous avez la sérénité endémique de l’île. Même si la vie ici n’est pas donnée on peu s’en sortir sans être particulièrement fortuné. Par contre, prenez votre temps, ici il est impossible de vouloir essayer de penser d’aller vite. Et c’est de toute façon contre nature. Apprenez à attendre à une terrasse de café, une fois la commande passée, apprenez à attendre à cette même terrasse de café que votre commande arrive, de toute façon, rien que là assis sur votre siège vous avez tout à regarder, entendre sentir, la Sicile c’est un film qui repasse en boucle. Et on ne s’en lasse pas.
Bon allez il est 00H50, on se lève à 8H00, pas la peine de se presser mais bon, on a déjà un pied dans l’avion.
A tout de suite !

jeudi 22 mai 2008

On est revenu de l'Etna

Journée 5 : Clément :
Il est 5h00, le téléphone de la chambre sonne ; ouais ok on arrive. Départ pour l’Etna dans ¾ d’heure.
On monte dans le minibus un peu groggy. Nous voilà parti pour 3h30 de route, il faut savoir une chose, entre Palerme et Taormine, l’autoroute est en l’air. Et oui, le ruban d’asphalte serpente dans une vallée bien encaissée, pour des raisons que j’imagine pratiques, nos amis siciliens ont décidé de la surélever. C’est très simple, placez un pylône de béton de 3 mètres de diamètre tous les 25 mètres. La hauteur du pylône varie en fonction de la hauteur de la vallée afin que l’autoroute reste « horizontale ». Sur ces beaux piliers, posez une dalle de béton. Répétez l’opération pendant 190 Km et vous obtenez la plus belle autoroute du monde. Il se faufile entre les collines de façon naturelle. Ainsi, la vallée n’est pas coupée en deux par la route. Le seul petit ennui c’est que :
1 : Entre chaque plaque de béton il y a un petit jour, un écart qui fait « toudoum » quand on roule dessus (pendant 190 Km). Un peu comme un vieux train
2 : Ce qui vous sépare du vide de parfois 20 mètres n’est rien d’autre qu’une petite barrière métallique de 50 cm de haut.
La bande d’arrêt d’urgence est assez large pour une poussette…et encore.
Le paysage est à couper le souffle. Des collines enchevêtrées les une dans les autres. L’une pour le pâturage, l’autre pour la culture, des vertes, des jaunes, des rouges. Un peu à l’image de la Sicile : chaotique, désordonné mais tellement beau. Des rondeurs se font trancher par des lames de roches brutales. On a l’impression qu’un géant est venu transpercer le sol avec le point pour faire surgir des millefeuilles de roc. Le décor est taillé par les dieux de la foudre, du marteau et de l’enclume. Aucune logique ne semble orchestrer cette débauche minérale et végétale, des collines entières boisées, des ruisseaux et le tout suspendu à un serpent d’asphalte. Un souvenir inoubliable, pour les yeux et le cœur « toudoum ».
Nous opérons la monté de l’Etna par le Sud. Une route de montagne en lacet, où les véhicules ne se croisent pas. Tout doucement tout devient noir. Un noir profond. La route serpente (et oui encore et encore) au milieu d’un cataclysme. De la roche ébène, des blocs entiers balancés ici ou là comme une vulgaire petite pierre et la végétation qui petit à petit reprend ses droits sur le minéral. Le ciel est plombé, les nuages sont au dessus de nous prêt à nous déverser dessus des litres d’eau. Le silence dans le bus. Nous arrivons à 1912 mètres. On ne peut pas aller plus haut. Il faut ensuite prendre un téléphérique qui ne vous emmène pas au bord du cratère, l’accès en est interdit depuis l’éruption de 2001. Nos amis siciliens ont l’honnêteté de mettre une caméra au sommet afin que de là où nous sommes on sache si ça vaut le coup d’y aller. Aujourd’hui ce n’est pas la peine, l’Etna a la tête (3500 mètres) dans la brume on ne voit rien…rien et rien. On reste donc à cette altitude.

Le cratère Sylvestre est là. Il semble accueillant au premier abord. Il faut savoir que l’Etna est constitué d’un millier de cratères. Y’en aura pour tout le monde !
Arrivés en haut du cratère, un vent envoyé par Eole en personne nous fait vaciller. Il est presque impossible de tenir debout, on ne s’entend pas parler, il fait froid et on prend des bouts de pierres volcaniques dans les gencives. Etant plus courageux que Nicolas Hulot, on continue, on fait le tour et on descend au fond de ce trou béant et froid de la montagne. Au fond tout n’est que luxe calme et roche. On reste là à admirer le panorama dans une tempête de vent et de poussières, des Km de lave, noire, froide.



Il est temps de partir, direction Taormine, petit village perché en bord de mer. D’en bas il faut prendre un téléphérique pour y accéder. On en profite pour manger dans un petit resto perdu au fond d’une ruelle, une terrasse donnant sur un jardin luxuriant, des palmiers, des toits en tuile et un chat qui fait la sieste au soleil. Ballades dans les petites rues fleuries, noires de monde. On s’arrête manger une vraie glace italienne. Prenez de la crème fraiche pas du tout allégée, du chocolat, mélangez, placez le tout à 3° et vous obtenez une glace italienne. L’heure approche, on redescend pour trouver une petite plage privée avec son petit bar où l’on prend un dernier verre face à la mer avant de regagner le bus (toudoum). On discute avec Magalie une amie à usage unique (cd Fight Club) rencontrée dans le bus et avec qui nous avons passé la journée.
Le trajet de retour est identique. Les couleurs ont changé, le couché de soleil est devant nous, se dessine dans le fond les éoliennes qui, dociles, tournent et tournent encore. Les nuages semblent s’effondrer dans la vallée. Bientôt la nuit arrive, on arrive à l’hôtel. Le restaurant nous attend il est 21H00.
A demain.

Journée 5 Sophie : Lever 5h du matin… aujourd’hui le grand moment des vacances : la visite de l’Etna !! Petit déjeuner en compagnie des autres courageux qui ont voulu faire le voyage et une équipe de pilotes d’avion, hôtesses de l’air et steward… le nez dans le café tout le monde croise les doigts pour ne pas être déçu par un sommet ennuagé et espère voir les fumeroles de la bête…
Hop installation dans le mini bus, appareil photos sous la main prêt à dégainer.
La première partie du voyage s’effectue sur l’autoroute « suspendue » qui serpente entre les différentes vallées de cette partie est de l’île. Après Palerme nous longeons la côte de la mer Tyrrhénienne. Puis nous commençons à nous enfoncer dans le cœur de l’île en traversant une zone assez montagneuse direction le sud est. Contrairement aux paysages lors du voyage à Agrigente qui étaient composés à perte de vue de champ d’olivier et de vignes, les paysages qui s’étendent devant nous sont composés de pâturages, de quelques cultures céréalières et de prairies de fauche (ils fauchent déjà ici, normal plus au sud, mais la question reste posée, Crex crex niche-t-il en Sicile ? auquel cas il aurait peut être du mal… ?? je pose la question amis naturalistes…). Puis après la pause sur une station d’autoroute qui n’a rien à envier aux nôtres à Enna, le paysage change encore. Nous voilà sur une sorte de plaine assez sèche (qu’est-ce que ça doit être au mois d’août !!), le temps est pourri. D’assez gros nuages menacent l’horizon, et tout d’un coup dans cette plaine brumeuse, se dessine la masse noire d’une montagne… (La montagne du destin… je ne peux porter l’anneau monsieur Frodon mais je peux vous porter vous !! désolée…pas pu résister…). Après quelques hésitations oui il s’agit bien de l’Etna ! Mais malgré tous nous espoirs le sommet reste perdu dans les nuages… pire on dirait même qu’il arrête les nuages et permet qu’il fasse beau sur la côte de la mer Ionienne ! Aller on est encore loin peut être qu’une fois arrivé le sommet sera dégagé… on y croit !
Catane : on ne voit pas grand-chose de la ville, juste les sorties d’autoroute… commence l’ascension face nord de l’Etna. Et là même si on ne verra pas le sommet, on se dit que les paysages qui défilent sous nos pieds valaient tous les réveils à 5h du mat du monde. La dernière grosse éruption de l’Etna date de 2001. Et la route de que nous empruntons a été faite après. Nous serpentons donc entre des coulées de lave solidifiée qui nous domine de plus de 2m. C’est impressionnant partout de la lave, partout partout… au détour d’un virage, apparaît le toit d’une maison ensevelie… c’est lunaire c’est désertique, parfois au détour du virage on aperçoit la vallée et la côte derrière Catane. Du vert, du bleu, le rouge des toits des maisons : la vie contre le noir de la montagne, comme pour nous rappeler que les colères de la nature si terribles soient-elles sont éphémères et que la vie reprend toujours son cours. Je vous renvoie aux photos pour que vous puissiez vous empreignez de cette ambiance unique.



Arrivée à 1900 m, point de départ du téléphérique vers le sommet. Nous sommes dans les nuages et là haut ? La caméra posée au sommet ne nous montre que des nuages… Il faudrait attendre une éclaircie mais nous n’avons pas le temps… nous ne verrons pas le sommet de l’Etna… mais d’autres curiosités nous attendent, notamment des vieux cratères, comme le cratère Sylvestre. De loin on voit des gens qui marchent sur le bord du cratère, ils tournent tous dans le même sens, on dirait une procession, un groupe de pèlerins en train de vénérer une ancienne divinité !! Nous nous joignons à la procession. La haut un vent ! Là aussi je vous renvoie aux photos et au film… ça se passe de commentaires. On ramasse plein de petits cailloux pour Lalo et JB.
Après avoir lutté dans le vent vraiment froid (on oublie souvent qu’il peut faire froid au sommet des montagnes !), c’est avec bonheur que nous rejoignons le mini bus, au moment bien entendu où le sommet semblait vouloir se dégager !!
Direction Taormina. La Monte Carlo de la Sicile. Une ville au bord de la mer Ionienne perchée sur un rocher. C’est une ville magnifique. En plus tout est fait pour que tout soit beau. Mais cela reste « naturel » loin d’être faux ou kitsch. Partout des pétunias, des bougainvilliers gigantesques sur des balcons, les lanternes de l’éclairage public sont ouvragées, il fait bon vivre à Taormina malgré les cohortes de touristes qui s’y pressent ! Un petit resto dans une petite ruelle avec vue sur les jardins et les toits de la ville, une « gelati » et voilà ! On renoncera devant le monde qui allait voir le théâtre grec, une erreur apparemment car le théâtre est vraiment magnifique et valait le détour (se sera pour une prochaine fois…) et nous descendons en bord de mer pour un dernier verre sur une terrasse face à la mer. Taormina c’est l’archétype même de ce qu’on appelle la Dolce Vita…

Journée 6 Clément, Sophie :
Aujourd’hui, repos et repos. Lecture, sieste, soleil et vent.
On était parti pour aller à Palerme…mais pas le courage, après tout on est ici pour se reposer.
J’ai comme l’impression que ça sera la même demain.
Journée 7 Clément :
C’est bien parti pour la crêpe sur la plage…
Après un petit sondage auprès des « amis » de l’hôtel, Palerme c’est bien mais pas top…une grande ville…donc  PLAGE !

lundi 19 mai 2008

Petit recapitulatif de notre voyage (le début)

Journée 1 (le 16-05-08)
Aujourd’hui c’est le départ.
Rendez-vous à RCG T3 pour le parcours du combattant avec :
1- Allez au guichet retirer nos billets
2- L’enregistrement
3- Le contrôle
Bon, passé ces quelques douloureuses formalités, nous embarquons dans l’avion avec 1\2 heure de retard.
Le vol se déroule sans encombre, on a même droit à un « repas »…enfin un truc à base de mousse de poisson bien mais pas top. En même temps vu l’heure… (16h00).
Enfin le pilote nous annonce la descente !!
Nous avions (forcément) été prévenus que « l’aéroport » de Palerme, n’était pas des plus « safe »… Effectivement, il s’agit tout simplement d’une bande d’asphalte sur la mer. En atterrissant, on a un peu l’impression d’amerrir et non d’atterrir !
Enfin nous sommes en vie et bien arrivés.
Un bel hôtel au bord de l’eau, en haut d’une falaise, on prend l’apéro et on mange dehors.
Ce soir il y a un « matrimonio » un mariage en français, la fête et les beaux costumes (et robes)…
Je m’essaye un peu à l’italien, je dois dire que ce n’est pas trop mal après 15 ans (aïe).
Sophie trouve les Italiens très mignons, en ce qui me concerne, pour le moment rien de spécial…mais j’ai le temps. Il faut avouer que le coté « bronzé, musclé » ça déchire à coté de mon « tout pâle pas rasé maigrichon ».
22h, on prend un petit café et on retourne dans notre chambre (qui d’ailleurs n’est pas belle mais bon…) Ah oui le menu du restaurant : Salade de crevettes, pâtes, mérou et glace vanille…j’ai un peu oublié de dire qu’on a presque fini de boire le pichet d’un litre de rouge…par contre on a fini toute l’eau ! Restons raisonnable…hum.
Demain on teste la thalasso avec massage au chocolat ou au café ou la chromothérapie ou le massage tout court. On vous racontera peut être…mais c’est pas sûr.
Sur ce bonne nuit !


Mon arrivée en Sicile par Sophie…
Nous y sommes c’est le grand jour… depuis le mois de février je me bats entre 1001 listes et Lookvoyage pour l’organisation de ce départ… je ne reviendrai pas sur les intermédiaires : liste de mariage / agence de voyage… ça risquerait de m’énerver ! Le fait est que je suis dans ce taxi qui m’amène à Charles de Gaulles Terminal 3 (celui où y’a rien à faire), c’est amusant de se faire conduire pour une fois (méchante allusion à mon chéri que ne peut pas me conduire…)… commence quasiment 3h d’attente. Le plus long étant les contrôles… Parenthèse : pourquoi les bouteilles d’eau ne sont pas autorisées alors que les biberons le sont ????? Un bébé ne peut-il pas être un terroriste ?? Bref… autant le terminal 2 est classe autant le 3 on a un peu l’impression qu’on fait avec les moyens du bord… « Mesdames et messieurs nous allons procéder à l’embarquement… euh ben non en fait… » Le bus qui doit nous amener à l’avion n’est pas là (ben oui je vous ai dit que c’était moins classe que le T2 la preuve !!)… occupons nous à regarder la faune autour de nous… on se sent seul… moyenne d’âge 55 ans ! pff… et oh les jeunes vous êtes où ???
Par je ne sais quel miracle nous montons dans l’avion avec pas trop de retard… commence le ballet des bienvenus à bord, vol non fumeur, et des accents anglais pourris… en plus au micro le pilote à l’air dépressif… l’avion : low coast= vieux fauteuils en sky tout limés (ça fait plus « chaleureux ») et tablettes pas nettoyées, poubelles pas vidées… euh sinon il est en état de voler votre avion ????
Le vol rien à dire, je réussi à terminer mon sudoku (niveau difficile du 20mn, les connaisseurs sauront qu’ils sont vraiment difficiles !!), on mange un truc… tiens du duty free dans l’avion non merci je ne veux pas de parfum, je veux aller en vacances… enfin « mesdames et messieurs nous entamons notre descente vers Palerme, la température extérieure est de 24°C !) Ouais
Les voyages en avion ont d’exceptionnel qu’ils vous font retrouver une âme d’enfant : on s’extasie d’un rien, à bas la blasitude ! Oh regarde le beau nuage ! Et là c’est la mer, regarde le bateau là bas mais si c’est un bateau !! Regarde !! ohohohoh là là mais là on voit la côte on est arrivé !! Peut être une manière de se protéger et d’oublier que l’aéroport de Palerme est dangereux, on focalise sur autre chose pour oublier l’atterrissage… je vois la mer, je vois la mer… tiens c’est bizarre je distingue des couleurs différentes dans la mer… mais je vois le fond de l’eau… logiquement ça veut dire qu’on est assez bas alors… dans ce cas là où est le sol ?????? Ah !! La côte mais où est la piste ??? Pas de panique… le pilote est peut être dépressif mais il sait faire atterrir son avion (je n’ai pas dit que c’était un airbus je crois…)
Aéroport de Palerme : il fait chaud. 2 choses m’ont marquée : les climatiseurs ont beau fonctionner cela n’empêche qu’il fasse chaud, ils ont des poubelles spécial tri (mais qu’attendons nous en France pour mettre des poubelles de tri dans les lieux publics ?? si même les italiens le font… c’est vrai, on se moque des italiens qu’ils ont les cheveux longs, qu’au foot ils ne savent que se rouler par terre, etc, etc mais eux ils ont des poubelles de tri dans leur aéroport !! eux certes beaucoup mais alors beaucoup moins grosses qu’en Allemagne mais ils en ont !…bref)
Après le jeu du tapis roulant et des bagages que c’est toujours les tiens qui arrivent en dernier, nous voilà en train de courir après un monsieur aux lunettes de soleil trop stylées (ma c’est l’Italie) qui brandit une pancarte Florio Park (c’est notre hôtel !). Plein de jolis bus partout ben non nous il est tout pourri et la clim même si elle existe elle n’est pas efficace ! nous voilà parti sur les routes siciliennes = une autoroute sur quelques km et des chemins qui selon mon expérience sont à qualifier de chemins de campagne… immersion mystérieuse entre des villas (digne de Miami) à moitié cachées par les oliviers et des cactus géants et des bicoques où paissent des vaches très jolies toutes noires (ça me fait penser à des vaches pour la tauromachie ou des courses camarguaises) dans 50m² boueux (mœurs étranges, note pour plus tard : chercher signification dans guide touristique)… existe-t-il vraiment un hôtel au bout de ce chemin… mon côté français méfiant désolée…
Enfin l’hôtel, on laisse les « vieux » se précipiter vers leur chambre… c’est à nous… bâtiment Orchidées… hum un bon présage. On pose les bagages dans la chambre (oh la clim fonctionne !! quel luxe !! mais la déco est à l’image de nos co-voyageurs : vieux… mais excessivement propre) et tels de bons animaux territoriaux nous faisons le tour du propriétaire : jolie piscine… le bar (repaire intéressant), le restaurant (élément vital !), le panorama sur la mer… la plage en contrebas (élément non vital mais important par où on passe pour y aller ??)
Le paysage est magnifique… mélange de mer et de roches… on dirait que l’homme est là par erreur… qu’il s’est mis là comme il pouvait… des monts arides et escarpés… une végétation rare basse, des oliviers, des cactus géants, des palmiers énormes ! Quelle avifaune exotique se cache en ces lieux ?? Ah ! Des moineaux… ce chant ?? Je ne le connais pas… ah si c’est un merle… et ces oiseaux qui viennent s’abreuver à la piscine ?... des hirondelles… du dépaysement mais pas trop… m’attendais-je à voir des aras ?
Par contre la faune locale est colorée !! Autant dans les lunettes de soleil que dans la langue !! C’est beau l’italien !! Et les italiens aussi tiens… des beaux ténébreux (les filles sont pas mal non plus…) intéressant cette mode des caleçons de bain moulants… « Mon chéri tu devrais t’acheter le même !! »
Bref petit apéro, repas très bon déjà décrit par clem donc je ne vais pas faire de redite. Juste chose qui m’a frappée : l’eau n’est pas très potable sur l’île alors ils nous donnent du vin !! Trop dur !! Mais le pichet d’un litre pour 2 qui vous attend sur la table à de quoi étonner… de façon positive bien sûr…
Nous voilà fort détendu, la décompression s’amorce… adieu vie parisienne, embouteillage, boulot, vie routinière, veaux, vaches cochons !! Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse … ??!!??
Quand on commence à écrire n’importe quoi c’et qu’il faut se coucher ! A bon entendeur !!

J2 : samedi 17 mai 2008
Sophie :
Aujourd’hui, journée vacances par excellence : lever le plus tard possible pour ne pas louper le petit dej et la réunion d’information. Petit dej = vraiment pas terrible… pour le pays où les oranges et les citrons sont rois, le banga à la fontaine ça fait tache… bof quoi… heureusement ils se rattrapent sur les lunchs et les diners…
Réunion d’information sur les excursions à faire en Sicile (club oblige n°1) : et là commence ce qui je pense va être notre soucis pendant cette semaine : comment rentabiliser ces vacances ? La Sicile c’est magnifique mais c’est très grand… que ce soit en passant par le club ou par nos propres moyens (= louer une voiture) c’est très cher !! Comment rentabiliser notre voyage… nous ne sommes pas là pour faire que de la bronzette ! On veut visiter toutes ces merveilles… mais… il faut mettre le prix… le choix va s’avérer cornélien… à l’heure où j’écris ces lignes nous n’avons pas encore tout déterminé… le mieux serait de trouver parmi les gens de l’hôtel les perles rares c'est-à-dire des gens qui ont les mêmes goûts que nous et envie d’aller aux mêmes endroits… pas facile…
Bon nous sommes le 1er jour de nos vacances on a toute l’année pour se prendre la tête on verra plus tard !! Ce manque de planification aurait don de rendre fou mon beau père… mais bon…
Donc programme de la journée : essai de la piscine : très très bien la piscine. Résultat des courses clem a pris des coups de soleil !! (biafine quand tu nous tiens !). Lunch= cuisine sicilienne = trop bon =mais comment font ils pour une pauvre aubergine devienne si bonne ?
Après midi sieste bien méritée et plage. La mer Tyrrhénienne = on y rentre presque trop facilement, juste le temps de se rafraichir.
Puis petite ballade dans le village à côté Terrasini, petit « village » côtier de 15000 habitants !! Très mignon (photos à voir). Et toujours ce contraste entre du très beau et du pas fini… troublant. Très belle église, bizarrement elle nous fait l’effet de pouvoir être une église que nous mettrions au Pérou pourquoi je ne sais pas !!??!!
Et puis nous sommes samedi, à côté des papis qui tapent la discute sur leur chaise sur les pas de porte ou les petites vieilles qui se penchent au carreau pour épier la rue, traine la jeunesse sicilienne !! Et dire que je trouvais les petites rueilloises étaient des victimes de la mode (tel est son nom de code… désolée), c’était avant de voir des gominés efféminés aux lunettes de mouche (toujours désolée je crois que je fais un blocage sur les lunettes) à fond les ballons sur leur scooter (que c’est même pas des Piaggios !!) (Sans casque bien sûr ça abimerait la coiffure) tourner autour de minettes sur maquiller avec les jeans les plus taille basse que j’ai jamais vu !! Je me sens vieille…
Retour à l’hôtel, apéro et à table on nous place avec d’autres couples (ah vade retro des gens !), mais bon ça va… ils sont sympas un couple très gentil et très simple qui doit fêter leurs 30 ans de mariage et qui partent seuls en vacances depuis la naissance de leurs enfants, du Nord et producteur de betteraves, et un autre couple parisien plus bobo tout vu tout fait un peu reloud dans le genre on sait tout mais gentil et tout de même intéressant… c’est juste qu’ils partent en voyage à peu près tous les 2 mois… pff même pas mal… c’est bien la retraite en fait… je me sens jeune…
Puis les animateurs font une petite soirée cabaret, c’est sympa bon enfant, un petit tour sur la piste pour se ridiculiser sur la danse de groupe (le truc des bronzés « bienvenue à machin » là j’ai toujours que c’était un mythe moi ben non !!) et au dodo ! Clem vient de prendre quelques jolies photos de l’hôtel de nuit à voir…

Clément :
J’ai dormi d’un sommeil de plomb… Ce matin le chat n’est pas venu me/nous sauter dessus à 5h00. Du coup ça va je suis en forme, et puis en vacances, je suis toujours en forme pour la journée qui s’annonce. D’autant plus qu’elle s’annonce radieuse. Effectivement j’avais hâte d’arriver au petit déjeuner, mais comme l’a déjà dit Sophie ce n’était pas terrible, culoté de la part de quelqu’un qui ne prend pas de petit dej me dirait vous mais bon…j’aime bien râler c’est de famille…poum poum.
Donc après ce petit loupé direction piscine, grande, profonde et un peu fraiche. Après tout dehors il fait à peine 30°. Après une heure de transat (un record pour moi), on file manger, et là on retrouve le véritable goût de la Sicile, en plus il y a de la mortadelle (une montagne). Du poisson, des poulpes, des escalopes et plein de salades…j’ai bien sûr axé mes choix vers les salades…et toujours le pichet de rouge…re poum poum. Leur vin ne doit pas être très fort car avec tout ce que j’ai bu la tête ne me tournait même pas. Cependant, nous voilà partis pour une sieste (on se la joue local…on n’est pas des sauvages). Suite à quoi direction la plage (privée on ne va pas se mêler aux locaux non plus sait on jamais ma pov Lucette). Petite trempette dans de l’eau turquoise et bien à température, puis encore bronzette… je joue avec le sable…le temps passe doucement. Ca y est on décolle après quelques coups de soleil pour le petit village d’a coté, un « petit » village de pêcheurs…parce qu’il y a un port…donc c’est des pêcheurs…non ? Une ville typique, où l’affreux côtoie le superbe, les petites ruelles, les voitures, les scooters, les petits vieux et les petits jeunes. Tout ce petit monde se regarde, s’observe. J’ai manqué la photo d’un bas qui sèche sur un fil…je regrette encore. Peut être sera-t-il encore là la prochaine fois.
De retour à l’hôtel, on se change, apéro, repas en compagnie de 2 couples, l’un très sympathique, l’autre un peu plus « parisien » je sais tout j’ai tout vu. Enfin ils ont acheté leurs billets au dernier moment pour pas payer trop cher (je suis langue de pute parfois j’aime bien). En plus ils nous donnent « à peine 23 ans »…que du bonheur !
On file à la soirée « cabaret » sketch, danse, c’est bon enfant, drôle on passe un bon moment. Il y a toujours le groupe de lourds qui beugle des « à poil » et autre…ils s’en vont au bout de 10 minutes vu que les danseuses ne se déshabillent pas. C’est un peu toujours pareil, il y a toujours LA bande de lourds bien bof téléfoot bière. Vive la France.
On tente une danse de groupe, on repaire ceux qui étaient aux cours ce matin et…nous. Faut bien rigoler un peu. Sur cet échec nous repartons vers la chambre. Je repaire quelques belles photos à faire. Je laisse Sophie écrire les lignes d’au dessus et voilà le résultat.
Sur ce, bonne nuit. Demain on……………………verra bien.

Journée 3
Aujourd’hui, nous partons en expédition. Direction Agrigente. Il s’agit de la vallée des temples.
2 Km de temples grecques en parfait état (tout est relatif). Donc on monte dans le minibus et nous voilà embarqué pour 1H30 d’autoroute sicilienne. Même pas peur ! Sur place c’est tout autre chose. 3 temples se dessinent parfaitement dans le paysage. Le premier le Temple de Junon, puis le Temple de la concorde encore debout et entier et enfin le Temple d’hercule, lui moins bien conservé. Bon je disais tout est relatif car les tremblements de terre sont fréquents par ici et ces 3 merveilles (classées au patrimoine de l’humanité UNESCO) sont encore là. Les siciliens ont eu la bonne idée d’en interdire l’accès, c’est un peu frustrant mais les temples ne sont pas détériorés. La civilisation moderne ne l’est a pas encore atteint. Les photos parleront mieux que moi du décor surréaliste de cette vallée des Temples. Au loin, la ville d’Agrigente se découpe sur les flancs de la colline ; des buildings, des blocs de béton mais ils restent à l’écart. Les cactus, oliviers et autres végétations bordent le parcours sans ombre. Le soleil frappe fort, la petite brise nous aide à survivre.
De retour à l’hôtel, vers 20H00, douche repas cartes postales et hop au lit…après une petite pause au bar… non mais. On se prépare psychologiquement à se lever à 5h00 mercredi pour une journée sur l’Etna et Taormine…mais ça on vous racontera si on en revient.

Sophie journée 3 :
Comme l’a déjà dit clément… aujourd’hui la vallée des temples !! en fait d’une vallée c’est plutôt la colline des temples. Une colline sacrée où se dressent des temples grecs en parfait état très bon qui ont chacun leur petite histoire (cf le premier guide touristique qui vous tombe sous la main) pour la beauté du site je vous laisse admirer les photos, elles parlent d’elle-même (essayer de trouver un nuage !!) ! Le petit chemin qui relie les temples est très agréable il est bien sûr difficile de trouver de l’ombre près des oliviers ou des amandiers qui le bordent mais la petite brise rend la chaleur plus que supportable !! j’aime ces paysages, au loin on aperçoit la mer, les grecs avaient du goût… quelques champs, des maisons plus ou moins cachées, une terre ocre parsemée de végétation basse… c’est beau ! par contre si les grecs avaient du goût on peut avoir des doutes sur ceux des contemporains… je vous laisse voir cela grâce à une des photos du temple de castor et pollux qui mieux que tous les grands discours donne une très bonne idée de ce curieux mélange… après cette dose de beauté et de soleil, nous voilà reparti vers l’hôtel pour retrouver un repos bien mérité !!
Les paysages sont très différents du nord au sud de l’ile. En remontant nous passons tout d’abord par des zones quasiment désertiques, puis des zones plus dans le centre de l’île plus vallonnées où s’étirent à perte de vue : des vignes, des oliviers, des vignes, des oliviers, des vignes, des vignes, ah ! des oliviers… quelques citronniers parfois !! je crois qu’on a dormi !
Retour à l’hôtel , manger, puis dormir !
A demain !

dimanche 18 mai 2008

vendredi 16 mai 2008

snif

Salut tout le monde. A première vue, il n y a pas internet à l hotel snif (d où le titre) mais on ne desespere pas. Ceci dit vu le prix d envoi de post par telephone, je ne vais pas en abuser. Le journal de bord sera en ligne dés que possible. On pense bien à vous et à bientôt.

Ps : david je n oublie pas le marsala

biz
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Coucou la sicile

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Go

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jeudi 15 mai 2008

Demain...


Agrandir le plan

Demain on s'enfuit pour la Sicile...
Donc si connexion Internet il y a on postera photo et vidéo sur ce blog, sinon ce sera quelques petites apparitions vite fait (par téléphone) pour vous tenir informé.

Allez bon courage !!

mardi 13 mai 2008

Cette photo qui ne parle plus

Bonsoir,

Il est un peu tard pour blogger, surtout lorsqu'on sort du concert de Sanseverino.
Entre nous ce personnage un démentiel à voir d'urgence sur scène.

Donc en revenant, je regarde vite fait les infos sur Le Monde. Et là tout en haut, une "brève" comme ils disent, l'Inde frappée par une série d'attentats meurtriers. Et pour illustrer ces propos un portofolio.

Huit photos s'enchainent, on y voit des corps, du sang, l'armée, des larmes etc.
Alors oui le travail d'un journaliste est de rendre compte de l'information, oui ces photos sont choquantes mais j'ai comme un certain malaise à les regarder.

Il y a des années de cela, il était rare qu'on nous montre de telles horreurs (famine en Afrique, bébé phoque éventrés). Aujourd'hui au 20h00 ou sur n'importe quelle page d'info, ces photos vous sautent dessus et vous prennent au ventre.

Alors loin de moi l'idée de dire "oulala c'est pas bien" mais à force de voir des enfants palestiniens ensanglantés, des corps inertes, des mères qui pleurent leurs enfants éclatés à coup de roquettes, des chars, des irakiens, les photos inédites d'Hiroshima (qui n'étaient pas d'Hiroshima), etc...etc.. la liste n'est pas exhaustive, que ressentons nous ?

Est-ce de l'info choc ? est-ce la vérité du terrain ? est-ce une saloperie de voyeurisme ? J'en sais rien.

Tout ce que je sais, c'est qu'une banalisation de la guerre n'est jamais bonne. A force de nous lancer ces images, au final on dorme pas plus mal, on mange pas plus mal, on fait la fête tout pareil. Mais on s'habitue au sang, aux crânes fendus etc...etc...

Le débat est ouvert, faut il tout montrer, sous quelles conditions ?
Imaginez le comble du crétinisme : des information avec le logo déconseillé aux moins de 16 ans, ou "attention ces images peuvent choquer" bah pourquoi les montrer, pourquoi le dire puisque le but est apparemment de choquer...Après tout y'a marquer "fumer tue" sur les paquets de clopes alors pourquoi pas.

Enfin, je vais aller me coucher car demain je bosse.

mardi 6 mai 2008

Screugneugneu

Bon.
Aujourd'hui, au boulot, c'était pas vraiment la journée de rêve. Que des dossiers merdiques, au téléphone, tous mes pires cauchemars...bref pas top.

En partant, je prends l'ascenseur qui se met a faire un bruit d'enfer et qui tremble dans tous les sens et j'ai fait le dernier étage en apesanteur... j'en suis sorti un peu tout mou...tout liquide...

Qu'à cela ne tienne ! tralala c'est la fin de la journée même pas peur !

Et non !
Car notre Président fête son non-anniversaire et comme je bosse juste à coté du siège de l'UMP et bien bus de CRS, flics partout rue bouchée...bref pas grave la journée est finie tralalalalèreuh !!

Arrivé à St Lazare déjà ça sent le roussi : les panneaux d'affichage n'affichent
rien : gloup !
Ô joie un tortillard arrive, je laisse les pôv passagers en descendre "pardon scuzez moi 'tention mon pieds connAAAAAArd..". Enfin le siège tant attendu ! je me pose et sort mon livre (l'etoile de Pandore très très bien)...tiens c'est bizarre le train il démarre pas ?!

"Votre putain d'attention s'il vous plait, votre putain de train de merde ne partira pas car y'a un fucking problème technique qui pue grave sa race".

gnéééééé mais euh !!!

bon 20 minutes après hop un autre train se pointe et hop c'est parti mon kiki. évidemment c'est un omnibus sinon c'est pas drôle ! non ?! ah bon.

Je sors en courant car malin comme je suis je regarde par la fenêtre pour voir si mon bus arrive et là c'est le cas !

Hop hop petites foulées en costume et hop hop me voilà dans le bubus !!

Soulagement je n'aurai pas à attendre.

C'était sans compter sur la canalisation d'eau qui a explosé et qui oblige les pompiers a fermer la rue...par laquelle mon bus vénéré passe...

Donc voilà...sorti à 19hzero zéro et me voilà arrivé @ home.

Je ne bouge plus, je ne touche plus à rien !!

Screugneugneu !!

Trop dure la pause dej

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lundi 5 mai 2008

Portishead en tout petit

Pourtant ils sont grands

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samedi 3 mai 2008

Question de rattrapage


Bon, pour ceux et celles qui n'ont pas trouvé le nom de la plante , je propose une séance de rattrapage.
Avant tout la réponse était "bleuet"

Là ça devrait être plus facile.

vendredi 2 mai 2008

Brèves de comptoir SNCF

Ce matin 7h52 à la gare de St CLoud.

"Madame, Monsieur, votre attention s'il vous plait. Le train de 7h57 déservant les gares de La Défense et Paris St Lazare est annulé. Prochain train déservant les gares de La Défense et Paris St Lazare sera reçu voie B à 8h00. Je répète, prochain train déservant les gares de La Défense et Paris St Lazare sera reçu voie A à 8h02."

Et 1 minute après : "Madame, Monsieur, votre attention s'il vous plait. Contrairement au message précédent, le train de 8h00 ne déservira pas la gare de Bécon Les Bruyères."

Les vois de la SNCF sont impénétrables.

De bon matin

Et oui y'en a qui bosse.

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jeudi 1 mai 2008

Un petit bout de printemps malgré tout



Ils sont tout juste sortis il y a quelques heures.
Ils grandiront encore de quelques centimètres.

Allez petit jeu : quel(le) fleur/plante/légume/végétal est-ce ?